« Ce qui m’effraie ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons » Martin Luther King
La plupart d’entre nous, être humains, passons notre temps à lutter contre les autres, l’extérieur, la maladie, la pauvreté, la guerre et j’en passe, au lieu de promouvoir ce qui est bon pour Soi puis de le rayonner vers l’extérieur pour le bien-être de tous.
Connaissez vous un être humain complètement heureux, épanoui, rayonnant de santé, aimant et empathique à souhait, qui soit en même temps destructeur, irrespectueux, agressif et faisant la guerre à ce qui ne lui convient pas? moi pas.
Et si c’était par ignorance, par désintérêt, par indifférence ou encore le plus souvent par peur, que nous nous éloignons de la manifestation d’une vie épanouie ?
Hier, j’écoutais l’émission de la Radio Télévision Suisse « on en parle » à propos de l’utilisation des pesticides et la nocivité de quelques uns pourtants largement utilisés. Ce qui me fait sourire, c’est qu’il y a plus de vingt ans lorsque j’en parlais autour de moi, j’étais vue comme étant l’extra-terrestre complètement à côté de la plaque. Les gens réagissaient de manière identique concernant mes tirades concernant le manger bio ou les soins au naturel; de nature sociable les gens m’aimaient bien, cependant j’avais quand même « quelque chose de bizare ».
Avant moi, des tas d’autres luttaient déjà pour une meilleure planète, une meilleure santé au naturel, plus d’amour et de paix dans le monde; la plupart sont restés inconnus du grand public. Ceux qui sont restés dans les mémoires, tels que M.Gandhi, mère Théresa, et bien d’autres, avaient tous en commun la promotion de la paix dans le monde. Moi aussi à vingt ans je voulais convaincre tout le monde du bien fondé de la théorie X ou de la manière de vivre Y, sans réaliser que je perdais une énergie folle à me bagarer contre des idées reçues, l’indifférence généralisée dans mes groupes d’amis ne pensant qu’à faire la fête et l’agressivité que je suscitais en eux par moments. Puis un jour j’ai compris et lâché prise; finalement qu’avais je donc à prouver? qu’avais je donc à absolument vouloir changer l’autre? oui, je pensais que cela venait du coeur, je voulais autre chose pour l’autre, je voulais qu’il se sente mieux et qu’il comprenne combien il faisait fausse route en mangeant « toutes ces saloperies non bio ». A quoi bien évidemment l’autre me répliquait « mais ma pauvre Annette, si tu savais comme tu te fais avoir, le bio c’est pas du bio, c’est de l’arnaque et en plus tu paies dix fois plus cher ».
Bref, à l’époque j’ai compris que c’était un état d’esprit et que même si on me vendait du Bio qui finalement s’avère être du non-Bio, au moins j’aurais décidé de faire le pas au lieu de me contenter de choisir consciemment la « malbouffe » par peur ou conviction de la tromperie; en choisissant de manger non bio j’étais au moins sûre d’une chose, c’est que j’avalais du pesticide… avec le Bio, j’avais un peu plus de chance d’en manger moins.
Cette parenthèse pour dire que finalement tout ce qui est utilisé pour lutter contre quelque chose, s’avère finalement être nocif pour soi, pour la planète et pourquoi pas « au-delà » à long terme. Et que même ceux qui luttent pour un monde meilleur, finissent finalement par utiliser les mêmes armes que leurs ennemis.
Il suffit de lire la liste des contre-indications des médicaments anti ceci et cela pour comprendre que l’on va droit au mur. Par manque de connaissance, la plupart d’entre nous préfère risquer les effets négatifs en avalant un cachet contre tel symptôme, plutôt que de chercher d’abord à comprendre ce qui a déséquilibré son organisme, puis de promouvoir ce qui peut rétablir sa santé. A quoi bon enlever le symptôme pour avoir un soulagement immédiat, sans modifier quoique ce soit à ce qui l’a provoqué?
Je vous propose d’aller faire un tour du côté des petites vidéos « la minute d’AROMARC » de mon ami de coeur Marc Ivo Böhnhing pour réaliser que le premier réflexe possible aux maux courants peut déjà faire une grande différence pour ta santé. Pour moi, Marc est le « prototype » de celui qui par passion des huiles essentielles fait la promotion de ce qui est bon pour nous de manière naturelle.
Et si toi aussi tu décidais aujourd’hui même de promouvoir ce qui est bon pour toi en traquant les peurs, les déséquilibres et autres croyances néfastes? et lorsque tu les vois t’envahir, tel des herbes indésirables, pourquoi ne pas choisir de les déloger de manière profitable pour toi et donc pour tout ce qui t’entoure.
cordialement,
Annette